La montée en compétence “réelle”, représente un challenge énorme pour la formation. Il existe malheureusement un gap entre apprentissage théorique et utilisation effective de nouvelles compétences. Tout d’abord, parce qu’une immense partie de l’apprentissage théorique est oubliée—comme le montre la courbe de l’oubli d’Ebbinghaus, jusqu’à 80 % des informations sont perdues en quelques jours sans consolidation active. Ensuite, parce que les méthodes actuelles ne permettent pas d’ancrer le savoir de telle manière à ce qu’il soit utilisé efficacement sur le terrain.
Pourtant, plus que jamais, les entreprises ont besoin que leurs employés développent de nouveaux skills rapidement et efficacement pour s’adapter à un monde en constante évolution.
Comment transformer cette ambition en réalité ?
Le transfert de compétences est le processus par lequel les connaissances acquises (que ce soit en formation ou ailleurs) sont appliquées dans un contexte professionnel réel. C’est la transformation d’un savoir abstrait en une capacité à agir efficacement sur le terrain.
Mais ce processus est loin d’être naturel ou automatique. La théorie et la pratique restent souvent cloisonnées. Prenons l’exemple d’un technicien formé à diagnostiquer des pannes sur une nouvelle machine : il comprend parfaitement les principes en salle de formation, mais une fois sur le terrain, il peut se retrouver désorienté face à des situations complexes non abordées en théorie.
Un autre exemple fréquent est celui des soft skills : un collaborateur peut apprendre en formation des techniques de gestion des conflits, mais sans pratique contextualisée et sans retour, il sera difficile de les appliquer efficacement lorsqu’un désaccord éclate lors d’une réunion.
Un far west pédagogique
Dans les faits, la transmission informelle des compétences est souvent anarchique. Même les formats pourtant dédiés au transfert de compétence, comme le mentorat ou le shadowing souffrent de plusieurs lacunes :
Un manque de temps pour les experts
Dans un contexte où les experts sont sursollicités, la transmission devient une tâche secondaire, souvent improvisée, amplifiant les inefficacités du processus. Un ingénieur expérimenté, par exemple, jonglera entre ses projets prioritaires et la formation d’un collègue, sans pouvoir y consacrer toute l’attention nécessaire. Résultat : une transmission partielle et souvent désorganisée.
Pour transformer l’apprentissage en compétences réelles, il faut s’appuyer sur des principes issus des sciences cognitives :
Didask propose une solution unique basée sur l’IA pédagogique et les sciences cognitives. Voici comment elle permet de réussir l’impossible :
Notre IA pédagogique permet aux entreprises de capturer et démultiplier le savoir-faire de leurs experts, transformant rapidement leur expertise en parcours de formation interactifs. Une solution qui optimise le temps précieux de ces collaborateurs clés, désormais libres de se concentrer sur des tâches stratégiques.
Le transfert de compétences est souvent considéré comme un acquis, alors qu’il repose sur une architecture complexe et exigeante. Didask apporte des solutions concrètes, en s’appuyant sur les sciences cognitives pour garantir un résultat optimal.
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